Comme le souligne l'auteur de l'article, la difficulté du recours à un instrument traditionnel de la diplomatie internationale est que l'Internet est par définition un système technique ouvert aussi bien aux États qu'aux individus, et que la responsabilité des attaques malfaisantes qui peuvent en émaner restent très difficiles à attribuer.
Sur le plan historique, de premières discussions auraient eu lieu dès 1996, dirigées côté américain par John Arquilla, un chercheur en stratégie adepte de la théorie de la guerre en réseaux.
La Chine aurait également été approchée par la Russie afin d'appuyer le projet d'un tel traité.
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