jeudi 20 août 2009

Vol d'identité génétique

Le Monde se fait l'écho d'un article publié par des scientifiques israéliens qui semblerait démontrer qu'il est relativement facile de synthétiser l'ADN d'un individu et de l'appliquer ensuite sur une scène de crime afin de faire croire à son implication. Les procédures actuelles d'analyse mises en oeuvre par les laboratoires de police scientifique seraient incapables de déceler la différence, mais heureusement, les auteurs ont aussi conçu un test qui est capable de faire la distinction entre des échantillons naturels et artificiels.


1 commentaire:

Anonyme a dit…

Hum, il y a plus simple tout de même : emporter des échantillons de cheveux, de salive, de peau desquamée et les déposer sur le lieu supposé.
db